Ma prison sans toit
On se met des barreaux aux fenêtres des murs qu’on se construit. Une prison dorée, avec de la liberté dedans, et autour. Alors à quoi bon se plaindre ?
On se met des barreaux aux fenêtres des murs qu’on se construit. Une prison dorée, avec de la liberté dedans, et autour. Alors à quoi bon se plaindre ?
C’est beau. Mais c’est pas un terrain de curling. Et qu’est-ce que c’est grand. C’est la mosquée Hassan II, et j’ai pris mon pied en la visitant.
18 jours. Une éternité. J’ai connu des batailles qui ont duré plus longtemps, des révolutions qui se sont réglées en moins que ça, des fleurs qui se sont transformées en fruits dans ce laps de temps. Mais 18 jours, ça reste une éternité.
Des fruits et des légumes. J’aime, j’en ai mangé tout au long de ma vie. Je dirais que j’en ai vu des vertes et des pas mûres. Ce bleu-violet, c’est mon truc je crois.
Je ne suis pas fan de culture irlandaise, jamais trop accroché. Mais contemporaine. Certes, j’apprécie la Guinness, et je me regale devant leur équipe de rugby, mais les U2 et autres joueurs de biniou, non merci.
Ça commence comme ça : Paul est en taule au Canada, 2 ans, on ne sait pas trop pourquoi. On va dérouler son histoire au fil des pages, comme une compte à rebours.
Dans une vie précédente, j’ai un peu bourlingué au Maroc. Pendant une dizaine d’années, je suis parti régulièrement dispenser mes certitudes et mes doutes à nos voisins méditerrannéens. J’ai aimé, beaucoup. A l’époque j’avais fait une promesse, voici venue l’année de sa réalisation.
Ca fait partie des petites tranches de vie insignifiantes, mais qui font que la vie vaut le coup d’être vécue.
Parfois, quand j’écoute de la musique de vieux, j’ai l’impression d’écouter de la musique de jeune. C’est le cas avec ce morceau.
Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu un bon Tarantino. Des premiers, un peu bruts de décoffrage, avec des maladresses, mais qui vont droit au but. Et on m’a mis ce bouquin entre les mains. Quelle bonne idée.