Le plus difficile n’est pas la chute, c’est l’atterrissage
Je la savais, et j’ai été prévenu. Le retour à la réalité quotidienne est violent.
Après tant de calme, de beauté, après tout ce temps où j’ai pu m’écouter et aller à mon rythme, c’est pour le moins compliqué de reprendre pied dans le bordel ambiant, d’être sollicité à chaque instant, de ne pas pouvoir choisir de ne pas faire telle ou telle chose.
Je m’étais plus pu moins préparé avant de partir, et à quelques jours de mon retour. J’étais plein de bonnes intentions.
Mais ça ne passe pas ! Je vais me laisser quelques jours pour m’acclimater et je verrai.