Le plus difficile n’est pas la chute, c’est l’atterrissage
Je la savais, et j’ai été prévenu. Le retour à la réalité quotidienne est violent.
Je la savais, et j’ai été prévenu. Le retour à la réalité quotidienne est violent.
J’ai trouvé le lieu parfait. Il est comme je l’avais imaginé.
J’ai découvert The Orb pour la première en 1995 je crois. Depuis on se quitte mais on se retrouve régulièrement, au détour d’un festival, d’une soirée, où d’une envie soudaine d’écouter de la musique qui fait voyager.
Dès les premières pages j’ai pensé à Voltaire. Le récit sent l’humanisme à chaque phrase. Nous voici parti sur les traces d’Auguste Benjowski dans sa fuite et sa quête à la manière d’un conte.
On se met des barreaux aux fenêtres des murs qu’on se construit. Une prison dorée, avec de la liberté dedans, et autour. Alors à quoi bon se plaindre ?
C’est beau. Mais c’est pas un terrain de curling. Et qu’est-ce que c’est grand. C’est la mosquée Hassan II, et j’ai pris mon pied en la visitant.
18 jours. Une éternité. J’ai connu des batailles qui ont duré plus longtemps, des révolutions qui se sont réglées en moins que ça, des fleurs qui se sont transformées en fruits dans ce laps de temps. Mais 18 jours, ça reste une éternité.
Des fruits et des légumes. J’aime, j’en ai mangé tout au long de ma vie. Je dirais que j’en ai vu des vertes et des pas mûres. Ce bleu-violet, c’est mon truc je crois.
Je ne suis pas fan de culture irlandaise, jamais trop accroché. Mais contemporaine. Certes, j’apprécie la Guinness, et je me regale devant leur équipe de rugby, mais les U2 et autres joueurs de biniou, non merci.