Nineteen hundred and eighty-five
Parfois, quand j’écoute de la musique de vieux, j’ai l’impression d’écouter de la musique de jeune. C’est le cas avec ce morceau.
Je vais vous épargner les débats Beatles / Stones, ou Lennon / McCartney, ou ceux sur le meilleur albu de McCartney / Wings. Moi c’est Band on the Run, c’est comme ça. Et dans BOTR, il y’a Nineteen Hundred And Eighty Five.
Ce morceau est une évidence. Il me donne envie de danser, de pleurer, de hurler, de chanter. Et il me fout des frissons à chaque fois que je l’écoute.
Il m’a aussi donné envie de me remettre au piano, d’ailleurs il me donne envie de m’y remettre. Fait partie des rares morceaux que je maitrise peu près. J’ai aussi des frissons quand je le joue au piano.
Le morceau m’énerve, il est parfait, et je ne conçois pas qu’un être humain soit capable de telle perfection. Mais le pire c’est qu’il y’en quelques uns comme ça sur l’album, et McCa en a écrit une chiée de ces morceaux parfaits. C’est beau.
Ca s’écoute en boucle, tout au long de la vie, en allant au boulot, en faisant du sport, en soirée, sous la douche, au réveil. Merci Olive !