Randonner en montagne, une valeur sûre
Alors oui il faut bien choisir sa montagne et ses compagnons de marche, mais la rando dans les Alpes, c’est quand même un truc. Surtout quand on ajoute un bivouac en pleine nature.
Alors oui il faut bien choisir sa montagne et ses compagnons de marche, mais la rando dans les Alpes, c’est quand même un truc. Surtout quand on ajoute un bivouac en pleine nature.
Lors de mes petites aventures vélocypédiques estivales des années passées, je me suis dit que j’en avais marre des campings et qu’il était grand temps que je franchisse le cap du bivouac. Je l’ai fait à quelques reprises, mais je n’étais pas à l’aise, j’avais besoin d’un coup de pied au cul pour m’y mettre pour de vrai. Début d’année, je me suis lancé avec l’aide de quelques énergies bienveillantes : c’est décidé, je ferai un stage de survie.
C’était vital. Besoin d’être seul. De ne plus être sollicité. De décider quel chemin suivre. J’ai choisi le Retord, idéal pour me retrouver
Dès les premières pages j’ai pensé à Voltaire. Le récit sent l’humanisme à chaque phrase. Nous voici parti sur les traces d’Auguste Benjowski dans sa fuite et sa quête à la manière d’un conte.
Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu un bon Tarantino. Des premiers, un peu bruts de décoffrage, avec des maladresses, mais qui vont droit au but. Et on m’a mis ce bouquin entre les mains. Quelle bonne idée.
Au printemps 2021, trop content de retrouver plus de liberté (oui, je considère qu’on n’a jamais été pas libres), j’ai pris la bécane pour aller voir mes potes à Nancy. Je n’ai jamais vu Nancy, ma bécane est restée à Vesoul, et moi je suis rentré à Lyon en train. Me restait plus qu’à acheter un vélo, parce que 6 mois à pieds, c’est long surtout pour aller à Nancy. Programme de l’été : faire l’aller-retour Lyon – Nancy pour…
Ce tour là, il avait une saveur particulière. Le Bugey déjà, et un (petit) rdv avec l’histoire.
C’est ça qui est bien avec la vie. Vous pouvez passer un an à rencontrer des dizaines de personnes sans qu’il ne se passe rien, et de temps en temps vous en rencontrez une qui était au bon endroit au bon moment.
Le genre d’aventure que j’aime, sur ses terres et hors des sentiers battus. Jérôme Colonna D’Istria décide de traverser la Corse à pied, du nord au sud, pendant le confinement.