Là-haut sur le Retord
C’était vital. Besoin d’être seul. De ne plus être sollicité. De décider quel chemin suivre. J’ai choisi le Retord, idéal pour me retrouver
C’était vital. Besoin d’être seul. De ne plus être sollicité. De décider quel chemin suivre. J’ai choisi le Retord, idéal pour me retrouver
Celui-là, je l’ai pris au hasard chez mon libraire local. Je n’ai jamais été attiré par les faits divers, par pudeur, parce qu’une somme de faits fussent-ils divers ne font pas une vie, et parce chacun sa vie.
Printemps 1974, dans les vignobles bourguignons. On prépare les vendanges de l’automne, on sait déjà que cette année on aura droit à un grand cru.
Ce tour là, il avait une saveur particulière. Le Bugey déjà, et un (petit) rdv avec l’histoire.